Les Films Jacques Leitienne

Note de la rédaction :
Non noté/10
Non noté

Note des spectateurs :

Les Films Jacques Leitienne. Rien n’a jamais été écrit sur la toile au sujet de ce distributeur que beaucoup redoutaient pour la qualité de ses films ou vénéraient pour la pugnacité de son exploitation. Aucun ouvrage, aucune page Wikipedia, aucune filmographie digne de ce nom n’a jamais été rédigée au sujet de l’homme et de sa carrière, que l’on pourrait par extension qualifier d’œuvre.

Dossier Les Films Jacques Leitienne : une exclusivité CinéDweller

CinéDweller vous propose en exclusivité un dossier aussi complet que possible sur le distributeur connu par plusieurs générations de cinéphiles, le travail d’un homme qui a largement œuvré dans le nanar et les films de genre et façonné ainsi une facette inoubliable du marché français, notamment dans les années 60 et 70.

Le politiquement correct de 2020 ne pourrait comprendre son œuvre sans la replacer dans le contexte d’après-guerre qui trouvait des échos populaires identiques en Italie, en Allemagne, et dans toutes les démocraties européennes de l’époque.

Critters, teaser magazine, Les films Jacques Leitienne

Les Archives CinéDweller

Pour faire short…

Distributeur culte des années 60-80, les Films Jacques Leitienne est né à la fin des années 50. Ce cinéma de l’extrême(ment nul) était spécialiste de nanars épatants, de films d’exploitation, de westerns spaghetti, de comédies au comique troupier… Il aura survécu jusqu’à la crise du cinéma qui dégomma d’un grand coup les indépendants bisseux, au milieu des années 80, après un ultime succès, celui de Critters.

En 1989, il distribuait dans la tourmente des œuvres comme Class 92 ou Le Scorpion Rouge. Il met la clé sous la porte à la fin de cette même année. La retraite d’un homme et celle d’une époque.

Les Films Jacques Leitienne et ses titres exquis

Parmi les trois cents films du distributeur les Films Jacques Leitienne, on citera en vrac des films comme Arrêtez les tambours, Le petit vagabond, La grosse pagaille, On l’appelle Trinita,  On continue à l’appeler Trinita, Dieu pardonne… moi pas !, Mon nom est personne, 4 zizis au garde-à-vous, La toubib du régiment, Suspiria, La prof du bahut, On est venu là pour s’éclater, Mon curé chez les nudistes, Les branchés à Saint-Tropez, 2019 après la chute de New York, Critters… 

Atomic Cyborg, affiche française, french poster (Hands of steel)

© 1986 Dania Films – Medusa Produzione. Tous droits réservés. Illustration : Casaro

Des titres explicites et des affiches plus spectaculaires ou outrancières que la réalité ringarde des spectacles proposés

Beaucoup des titres du monsieur (voir l’inénarrable filmographie ci-dessous) ont bâti le mythe et la fascination pour un cinéma exploité généralement dans quelques salles spécifiques en intra-muros à Paris, avant la tournée de la province, quand les films n’étaient pas eux-mêmes exploités directement chez les provinciaux, ou certaines parties de l’Hexagone. Les années 60-70 étaient une ère du long cycle où les films produits avaient besoin de représentants pour parcourir le pays et vendre les longs métrages bricolés par des titres explicites et des affiches plus spectaculaires ou outrancières que la réalité ringarde des spectacles proposés.

Prisons de femmes en furie (1984), affiche de Ferrari

© Ferrari

Sexe, voyeurisme et rires en salle, à prendre ou à frustrer

Comme il n’y avait ni VHS, ni Internet, ni la multitude de chaînes de télévision d’aujourd’hui, le voyeurisme ethnocentrique propre aux documentaires sensationnalistes et aux vidéos proposées sur YouTube, la frustration sexuelle des uns, le besoin de communion par le rire des autres, l’envie de découvrir l’impensable, d’être bousculé, émoustillé, le désir d’exotisme, tout passait par le grand écran, média d’envergure pour des campagnes isolées, sans TGV, ni même téléphone portable avec forfait illimité. Communiquer dans la France d’hier était un luxe restreint aux heures creuses du téléphone.

L’histoire de Jacques Leitienne :

Avec un oncle dans le cinéma, Jacques Leitienne a sa voie tracée. Il sera distributeur. Son oncle, François Campo, lui propose de distribuer des films avant de finir ses études. Tout jeune – il est né à Levallois Perret, un 25 janvier 1922, il devient représentant, puis directeur chargé de vendre les films de son oncle.

Il monte son affaire en 1957, Les Films Jacques Leitienne. En 1960, il distribue Marche ou crève et Arrêtez les tambours ! de George Lautner avec Bernard Blier.

Les western spaghetti sur CinéDweller

Il produit (la plupart des Max Pécas, dont les déshabillés, les comédies et le polar Brigade des mœurs) et achète des films qu’il distribue, y compris pornographiques pour suivre la demande. Il est également coproducteur sur Mon nom est personne, un triomphe au cinéma qu’il redistribuera de nombreuses fois en salle et exploitera aussi à la télévision.

Sa société était capable de coup de génie. Ainsi, Les Films Jacques Leitienne a coproduit L’innocent, l’ultime film de Visconti avec Rizzoli et la société Francoritz. Ils ont aussi découvert et porté le phénomène Trinita.

Mon nom est personne, affiche du classique avec Henry Fonda et Terence Hill

1973 Copyrights : Rafran Cinematografica, Les Films Jacques Leitienne

La société Les Films Jacques Leitienne distribuera des films de Mocky (L’ombre d’une chance, Le pactole, avec Patrick Sébastien…), Lattuada (La putain du village), Jess Franco (Operation Re Mi Da, Les Infortunes de la vertu), Umberto Lenzi (Des fleurs pour un espion, Super 7 appelle le sphinx), Michel Lemoine (Tire pas sur les collants, Les désaxées...), l’adaptation (ratée) de Mont Dragon de Robert Margerit, avec Jacques Brel, un Mel Brooks (Le mystère des 12 chaises), le film de Terence Young avec Lee Marvin et Richard Burton (L’homme du clan), Giuliano Montaldo (Un jouet dangereux, avec Marlène Jobert), Jean-François Davy (La débauche), Steno (Comment épouser une Suédoise, Le coq du village…), Michele Lupo (Erotic Story, L’homme aux nerfs d”acier…), Terence Fisher (Les étrangleurs de Bombay), Dario Argento (Suspiria), Bruno Corbucci (La grosse combine), Wes Craven (L’été de la peur), Domenico Paolella (Hercule défie Spartacus, Les religieuses du Saint-Archange), Enzo Barboni/E.B Clucher (On l’appelle Trinita, On continue à l’appeler Trinita, Renegade…), Paul Vecchiali (Change pas de main), Lewis Teague (Du rouge pour un truand), Bernardo Bertolucci (La contestation : L’agonie), Mauro Bolognini (Où es-tu allé en vacances?, Metello, La Vénitienne),  José Bénazéraf (La veuve lubrique, Le quatrième sexe, La soubrette perverse…).

Les nuits chaudes de Cléopâtre, affiche Nick Ferrari

Illustrateur : Nick Ferrari

Les Films Jacques Leitienne essaie de s’adapter à la révolution VHS

En 1982, fort d’une excellente année avec de nombreux succès au box-office, le distributeur qui se considère alors comme l’un des derniers vrais indépendants, sort ses premiers titres en vidéocassette, sous son propre label vidéo.

  • Le cancre du bahut
  • Fort Bronx (New York Connection)
  • Le trou aux folles
  • La prof d’éducation sexuelle
  • Camp disciplinaire
  • Une ville vachement sympa
  • Le colonel en folie
  • Crime au cimetière étrusque (dont le scénario est cosigné par Leitienne)…

En 1982, la société Les Films Jacques Leitienne sort alors les films en vidéo-cassette six mois après la sortie salle, à l’exception de Camp disciplinaire qui connaît une sortie quasi simultanée. Le débat sur une chronologie des médias fait alors rage.

La Tour Eiffel en Otage, jaquette VHS

Cover VHS France. Copyrights : Tous Droits Réservés

Le distributeur poursuit son chemin en 1983 (Les deux visages de la peur, La tour Eiffel en otage, O’Cangaceiro…). Le succès n’est pas forcément au rendez-vous en raison d’une législation défavorable aux indépendants imposée sur le secteur, avec désormais un délai d’un an entre la sortie salle et celle de la vidéocassette (VHS ou V2000), ainsi qu’une augmentation de la TVA…

Démarre la crise du cinéma…

En 1984, alors que démarre la crise du cinéma, le distributeur a encore le sourire. Si le premier film sur le phénomène smurf, Break Dance and Smurf est un échec, Les Films Jacques Leitienne compte encore de beaux succès, notamment grâce à la province, puisque c’est essentiellement en dehors de Paris que le distributeur vieux de 27 ans réussit ses coups. Le bis italien (2019 après la chute de New York, Blastfighter l’exécuteur) marche mieux que le cinéma franchouillard sur lequel le distributeur avait largement compté en 1983.

2019 après la chute de New York, l'affiche

© 1983 Nuova Dania Cinematografica – Medusa Distribuzione – Les Films du Griffon / Affiche : Renato Casaro. Tous droits réservés.

Le déclin de l’empire Jacques Leitienne

Pour ses 30 ans, en 1987, rien ne va plus. Police des mœurs (les filles de Saint-Tropez) n’est pas le succès espéré, le Max Pécas On se calme et on boit frais à Saint-Tropez est un cuisant échec, et même Terence Hill ne fait plus recette avec Renegade, dans lequel il intervient en solo. Dans le cinéma de genre, ils ont beaucoup misé sur L’enfer vert d’Antonio Climati, mais le film est repoussé d’octobre 87 à mai 88 et sort dans l’indifférence générale.

Fermeture des salles emblématiques des cinémas de quartier

La crise du cinéma a fait fermer des centaines de cinémas en France, notamment ceux spécialisés dans le kung-fu, le porno et le cinéma de genre (grosse hémorragie de temples et salles uniques entre 1985 et 1988 rendant l’exploitation en salle impossible). Ce type de produit est relégué en VHS. Quant au cinéma franchouillard qu’aimaient tant les campagnes, il décède prématurément, emportant avec lui les Balducci, Pécas, Michel Gérard… Le paysage français est plus éduqué, citadin, et développe un goût pour le cinéma américain à gros budget, avec effets spéciaux. Désormais, le spectateur est regardant avant de dépenser ses francs en salle.

Après 1989, on ne retrouvera plus Les Films Jacques Leitienne sur grand écran, puisque l’entreprise située au 52 avenue des Champs-Elysées ferme le 20 septembre 1989. La major des indépendants du cinéma alternatif ne réussira pas à survivre au passage à la nouvelle décennie. Sa disparition sonne la fin d’une époque qui emporte avec elle les ersatz de James Bond des années 60, les comédies sexy italiennes aux titres improbables, avec des Zizis, des Profs, des Lycéennes, des Folles, des Trouillards, la franchouille de Paul Préboist et consort, les post-nuke italiens, les western spaghettis, les prisons de femmes en furie et autres WIP bon marché, les films érotiques de Joe D’Amato…

Les Films Jacques Leitienne, 1959

Copyrights : Les Films Jacques Leitienne – Les Archives de CinéDweller

Pour le porno, le distributeur qui avait beaucoup travaillé avec Max Pécas et José Bénazéraf au début des années 70, avait déjà jeté l’éponge avec l’avènement du X, s’admettant vaincu face au retour de la censure économique avec la mise en place d’un circuit surtaxé.

Le distributeur indépendant Eurogroup survivra grâce aux séries B horrifiques américaines, pendant quelques années. Mais, dans l’ombre des Films Jacques Leitienne, décollera un petit distributeur qui deviendra grand, Metropolitan FilmExport, né au milieu des années 80. Spécialisé dans le kung-fu et la série Z, Metro se préparait à devenir le plus gros indépendant des années 90 et surtout 2000 avec la reprise du catalogue de New Line (Le seigneur des anneaux…). Mais ça, c’est une autre histoire.

Jacques Leitienne décèdera en toute discrétion le 17 octobre 1997. Survivra à la fin de son temple de la débrouille un jeune attaché de presse qu’il avait pris sous aile dans les années 80. François Hassan Guerrar, passé de Max Pécas pour le mentor qui le lança à plus tard des films comme Candyman, Body avec Madonna (!), La haine, Un héros très discret, Dobermann, Festen (pour les années 90), et plus de 200 films dans les années 2000 et 2010, parmi les auteurs les plus prestigieux. Voir cet excellent article de L’Obs. 

Frédéric Mignard

Les Films Jacques Leitienne, 1960

Tous droits réservés.

Filmographie du distributeur Les Films Jacques Leitienne :

  • 1958 : Quand gronde la colère
  • 1958 : Mission diabolique
  • 1958 : Les poupées du vice
  • 1958 : Tonnerre sous l’Atlantique
  • 1959 : Tant que mon cœur battra
  • 1959 : Madame, le comte, la bonne et moi
  • 1959 : Les souris grises
  • 1959 : L’enfant de la rue
  • 1959 : Chaleurs d’été
  • 1959 : L’amour parmi les monstres
  • 1959 : Le monstre sans visage
  • 1959 : L’espion du Caire ZbV
  • 1959 : Commando dans la mer du Japon
  • 1959 : Un seul survivra
  • 1960 : Ce sacré clochard
  • 1960 : Les étrangleurs de Bombay
  • 1960 : Les prisonniers du mal
  • 1960 : Le mystère des deux océans
  • 1960 : Les diables verts de Monte Cassino
  • 1960 : Le cavalier à l’armure d’or
  • 1960 : Le septième jour de Saint-Malo
  • 1960 : Les conquérants de l’Orient
  • 1960 : Marche ou crève !
  • 1961 : Les chacals meurent à l’aube
  • 1961 : Le dernier train de Shanghai
  • 1961 : Arrêtez les tambours
  • 1961 : Heures chaudes
  • 1962 : L’invisible Docteur Mabuse
  • 1962 : Les insatisfaits (L’empreinte du caïd)

 

Line Up Les films Jacques Leitienne 1961

Illustration : Guy-Gérard Noël. Tous droits réservés.

  • 1962 : Le quatrième sexe
  • 1962 : Le scorpion
  • 1962 : La grenouille attaque Scotland Yard
  • 1962 : Nous irons à Deauville
  • 1962 : La vie d’Adolf Hitler
  • 1962 : Aux mains des SS
  • 1962 : En plein cirage
  • 1962 : Le monstre au masque
  • 1962 : Samson contre Hercule
  • 1962 : Les bagarreurs du Pacifique
  • 1962 : Les desperados de la sierra
Le fils du Cid, affiche cinéma de Les cent cavaliers

© 1964 Movietime SRL. Tous droits réservés.

 

  • 1963 : La furie des SS
  • 1963 : La porte aux sept serrures
  • 1963 : Le livre de San Michele (L’odyssée du Docteur Munthe)
  • 1963 : L’espionne sera à Nouméa
  • 1963 : Le monstre aux filles
  • 1963 : Le souteneur
  • 1963 : Les hyènes chassent la nuit
  • 1963 : La guerre des mômes
  • 1963 : Echec au cyanure
  • 1963 : Médecin pour femmes
  • 1963 : Samson l’invincible
  • 1963 : L’araignée blanche défie Scotland Yard
  • 1963 : Les diables rouges face aux SS
  • 1963 : La mystérieuse Madame Cheney
  • 1964 : La baie du désir
  • 1964 : Hercule contre les mercenaires
  • 1964 : Interpol contre les stupéfiants
  • 1965 : Commando aux Philippines
  • 1964 : 5 filles en furie
  • 1964 : Goliath et l’Hercule noir
  • 1964 : L’assassin viendra ce soir
  • 1964 : Le voleur de Damas
  • 1964 : Le crapaud masqué
  • 1964 : Hercule contre les mercenaires
  • 1964 : Hold-up en 120 secondes
  • 1964 : Une famille explosive
  • 1964 : Nus au soleil
  • 1964 : Dans les griffes de l’homme invisible
  • 1965 : 2ème bureau : le secret du chiffre
  • 1965 : Maciste et les cent gladiateurs
  • 1965 : Du grisbi pour Hong Kong
  • 1965 : Sexy de nuit
  • 1965 : Le triomphe d’Hercule
  • 1965 : FBI. contre l’œillet chinois
  • 1965 : 1965 : FBI. enquête à Los Angeles
  • 1965 : Le triomphe des dix mercenaires
  • 1965 : Espionnage à Bangkok pour U-92
  • 1965 : Hercule contre les fils du soleil
  • 1965 : Le petit gondolier
  • 1965 : Le bourreau de Londres
  • 1965 : Suspense au Caire pour A008
  • 1965 : L’aigle de Florence
  • 1965 : Groupe de choc
  • 1965 : Les trésors des SS
  • 1965 : Le colosse de Rome
  • 1965 : Deux des commandos
  • 1966 : Karaté à Tanger pour agent Z7
  • 1966 : Le petit Andalou
  • 1966 : Des fleurs pour un espion
  • 1966 : Opération Tokio (reprise de Maison de bambou)
  • 1966 : Super 7 appelle le sphinx
  • 1966 : Spartacus et les dix gladiateurs
  • 1966 : Espionnage à Capetown
  • 1966 : Razzia au F.B.I.
  • 1966 : Jerry Cotton contre les gangs de Manhattan
  • 1966 : Jerry Cotton G-Man agent F.B.I
  • 1966 : Baroud à Beyrouth pour F.B.I. 505
  • 1966 : Le rossignol de Castille
  • 1967 : Coup de gong à Hong Kong
  • 1967 : Sous la loi de Django
  • 1967 : Un dollar entre les dents
  • 1967 : Du suif dans l’Orient-Express
  • 1967 : Le requin est au parfum
  • 1967 : Jerk à Istanbul
  • 1967 : Monsieur Dynamite
  • 1967 : Bazooka pour un espion
  • 1967 : Du grisbi au Caire
  • 1967 : Le gamin de Porto Rico
  • 1967 : 7 contre la mort
La prof et les cancres, affiche

© Les Films Jacques Leitienne

  • 1968 : 15 potences pour un salopard
  • 1968 : Pour un dollar de gloire
  • 1968 : L’or du shérif
  • 1968 : Voluptés diaboliques
  • 1968 : El Cisco
  • 1968 : Poker d’as pour Django
  • 1968 : Un fusil pour deux colts
  • 1968 : Tête de pont pour huit implacables
  • 1968 : Dieu est avec toi, Gringo
  • 1968 : Les 5 de la vendetta
  • 1968 : Steve, à toi de crever
  • 1968 : LSD (Prisonniers du plaisir)
  • 1968 : L’homme qui venait pour tuer
  • 1968 : Professionnels pour un massacre
  • 1968 : Tom Dollar
  • 1968 : La chair et le fouet (L’auberge des poupées cruelles)
  • 1968 : Mieux vaut faire l’amour
  • 1968 : Ce salaud d’inspecteur Sturlingh (Ce salaud d’inspecteur Sterling)
  • 1969 : Dans les mains du pistolero
  • 1969 : Django le taciturne
  • 1969 : 7 hommes pour Tobrouk
  • 1969 : El Rojo
  • 1969 : El Sartana, l’ombre de ta mort
  • 1969 : Etranger signe-toi
  • 1969 : Le gigolo du Pirée
  • 1969 : Michi No Sex
  • 1969 : Baroud à la Jamaïque
  • 1969 : Et maintenant recommande ton âme à Dieu
  • 1969 : Les contes de Grimm pour grandes personnes
  • 1969 : La religieuse de Monza
  • 1969 : La grosse pagaille
  • 1969 : 100.000 dollars pour Lassiter
  • 1969  : Itoka, le monstre des Galaxies
  • 1969 : Les six épouses de Ch’Ing
  • 1969 : Carmilla, la vierge folle
  • 1969 : Journal intime d’une demi-vierge
  • 1969 : Le grand cérémonial
  • 1969 : Lien d’amour et de sang
  • 1970 : O’Cangaceiro
Brigade anti-viol, affiche Jacques Leitienne

Affiche Brigade anti-viol, une affiche Les Films Jacques Leitienne – Tous Droits Réservés

  • 1970 : Claude et Greta (Les liaisons particulières)
  • 1970 : Mont-Dragon
  • 1970 : Le justicier du Sud
  • 1970 : Mes ennemis, je m’en garde
  • 1970 : Les sept bâtards
  • 1970 : La contestation : L’agonie
  • 1970 : L’école du sexe
  • 1970 : Les brebis du révérend
  • 1970 : Le sexe, cet inconnu
  • 1970 : Prélude à l’extase
  • 1970 : Le journal intime d’une nonne
  • 1970 : Les infortunes de la vertu
  • 1970 : Buckaroo ne pardonne pas
  • 1970 : Les rangers
  • 1970 : Prie et creuse ta tombe
  • 1970 : L’éperon brûlant
  • 1970 : Panzer division
  • 1970 : Quatre Hommes aux poings nus
  • 1970 : A l’aube du 5e jour
  • 1970 : Moi, un corps
  • 1970 : Paris Interdit
  • 1971 : 3 pour un massacre
  • 1971 : Le magnifique Texan
  • 1971 : Le dernier des salauds
  • 1971 : L’amour de gré ou de force
  • 1971 : Lesbos, l’amour au soleil
  • 1971 : Trois croix pour ne pas mourir
  • 1971 : La horde des salopards
  • 1971 : La débauche
3 pour un massacre, affiche du film

© Les Films Jacques Leitienne – Illustrateur : Inconnu. Tous droits réservés?

  • 1971 : Un doigt sur la gâchette
  • 1971 : Pour mille dollars par jour
  • 1971 : Tu peux… ou tu peux pas ?
  • 1971 : Le clan des frères Mannata
  • 1971 : Hercule défie Spartacus
  • 1971 : Ah ! Si j’étais restée pucelle
  • 1971 : Je suis une nymphomane
  • 1971 : L’ingénue perverse
  • 1971 : Metello ou naissance de la colère
  • 1971 : La grosse combine
  • 1971 : Tué à froid
  • 1971 : Le fils du Cid
  • 1971 : La bataille du dernier pont
  • 1971 : On l’appelle Trinita
  • 1971 : 2 trouillards en vadrouille
  • 1971 : Tire si tu veux vivre
  • 1971 : Dieu, pardonne à mon pistolet
  • 1972 : Avec Ringo arrive le temps du massacre
Django le taciturne affiche

© Les Films Jacques Leitienne

 

  • 1972 : Curé de père en fils
  • 1972 : Homme masqué contre les pirates
  • 1972 : Comment épouser une Suédoise (Ce coquin de Viking qui vient du Sud)
  • 1972 : Les 5 brigands de l’Ouest
  • 1972 : 2 bidasses et le général
  • 1972 : Sartana… Si ton bras gauche te gêne, coupe-le !
  • 1972 : Les 7 enragés du Texas
  • 1972 : L’odeur des fauves
  • 1972 : La rançon de la chair
  • 1972 : Un homme appelé Dakota
  • 1972 : Pour Django les salauds ont un prix
  • 1972 : Les canons de la dernière chance
  • 1972 : 2 corniauds au régiment
  • 1972 : Intrigues diaboliques
  • 1972 : Son nom est Sacramento
  • 1972 : Les joyeux lurons
  • 1972 : Sigpress contre Scotland Yard
  • 1972 : Dieu pardonne… moi pas !
  • 1972 : Le défi des MacKenna
  • 1972 : On continue à l’appeler Trinita
  • 1972 : Demande pardon à Dieu… pas à moi!
  • 1972 : 2 corniauds dans la brousse
  • 1972 : 30 000 lieues sous les mers
  • 1972 : Je suis frigide… pourquoi ?
  • 1972 : Le commando du sergent Blynn
  • 1972 : Le pirate du diable
  • 1972 : Homicide sur rendez-vous
  • 1972 : On l’appelle Spirito Santo
  • 1972 : Pour Danjgo les salauds ont un prix
  • 1972 : Le goût de la vengeance
  • 1973 : El Sancho, c’est le temps de mourir
  • 1973 : Django, ton tour viendra
  • 1973 : Mon nom est personne (Comment le désir vient aux filles)
  • 1973 : Les chiennes (Le manoir aux louves)
  • 1973 : 2 corniauds contre Cosa Nostra
  • 1973 : 2 visages de la peur
  • 1973 : Les deux fils de(s) Trinita
  • 1973 : 2 trouillards pistonnés
  • 1973 : Les négriers
  • 1973 : Cargaison noire pour négriers
  • 1973 : Né pour tuer
  • 1973 : Les vacanciers
  • 1973 : Chen la fureur du kung-fu
  • 1973 : La main gauche de la violence
    Massacre au grand canyon, affiche du film d'Albert Band

    © 1973 Ultra Film, Prodi Cinematografica, Les films Jacques Leitienne. Tous droits réservés.

     

  • 1973 : Massacre au Grand Canyon
  • 1973 : The French Love
  • 1973 : La reine du karaté
  • 1973 : Trois tombes pour Quintana
  • 1973 : Des dollars plein la gueule / Plus fort ma sœur
  • 1973 : La vengeance du léopard chinois
  • 1973 : Le kamikaze du karaté
  • 1973 : La nuit des diables
  • 1973 : Les Autres Contes de Canterbury
  • 1973 : Sabata règle ses comptes
  • 1973 : El Puro, la rançon est à toi
  • 1974 : Les 2 filleuls du parrain
  • 1974 : Les 3 supermen dans la jungle
  • 1974 : Vierge Créole
  • 1974 : Le Chinois au bras de fer
  • 1974 : Les moëlleuses / Les moelleuses
  • 1974 : L’ombre d’une chance
  • 1974 : Club privé pour couples avertis
  • 1974 : On l’appelle Trinita (reprise)
  • 1974 : Mains d’acier furie chinoise
  • 1974 : Un parfum d’amour
  • 1974 : Les quatre doigts de fureur
  • 1974 : Les 7 violents du kung-fu
  • 1974 : Appassionata
  • 1974 : La vie sexuelle de la femme moderne
Mon curé chez les nudistes, l'affiche

© 1982 Les Films Jacques Leitienne / Affiche : P.M. Tous droits réservés.

  • 1974 : La chaîne infernale du Ta-Kang
  • 1974 : Goyokin, la terreur des Sabai
  • 1974 : Le totem du sexe
  • 1974 : Les religieuses de Saint-Archange
  • 1974 : Brute Corps (Sexe sauvage)
  • 1974 : Sexuellement vôtre
  • 1974 : Chan le dragon du kung-fu
  • 1974 : Chan le caïd des Sampangs
  • 1974 : Adolescence pervertie
  • 1974 : Le tigre de la rivière Kwaï
  • 1974 : La main de bronze de Hong Kong
  • 1975 : Quelque chose rampe dans la nuit
  • 1975 : Bounty Killer à Trinita
  • 1975 : Sur le fil du rasoir (Meurtre au rasoir)
  • 1975 : La veuve lubrique
  • 1975 : L’homme du clan
  • 1975 : Je prends la chose du bon côté
  • 1975 : Rêves pornos
  • 1975 : Change pas de main
  • 1975 : Les deux frangines
  • 1975 : La soubrette perverse (La soubrette)
  • 1975 : Les butineuses
  • 1975 : L’homme aux nerfs d’acier
  • 1975 : Trinita, le superbe étranger / Le bon, la brute et le chien
  • 1975 : Allô Naples ici Londres
  • 1975 : Chan le léopard du Ta Kang
  • 1975 : Les savoureuses
  • 1975 : 4 zizis au garde-à-vous
  • 1975 : 4 zizis dans la marine
  • 1975 : Les démerdards (Par ici la monnaie)
  • 1975 : Chin Siang la panthère jaune
  • 1975 : Les deux gouines
Confessions d'un moniteur de club de vacances, affiche france

© Les Films Jacques Leitienne

  • 1975 : Magdelena : la sexorcisée
  • 1975 : Le jeune tigre de Kowloow
  • 1975 : Le mystère des 12 chaises (Sois riche et tais-toi, titre alternatif)
  • 1975 : Le fils de Zorro
  • 1975 : Lèvres chaudes
  • 1975 : 5 pour l’Or de los Quadros
  • 1975 : 3 réservistes en java
  • 1975 : Les 1001 perversions de Felicia
  • 1975 : Un homme appelé Karaté
  • 1976: Les derniers cris de la savane
  • 1976 : Un homme… Une ville
  • 1976 : Quand explose grenade
  • 1976 : Le roi du kunf-fu
  • 1976 : Chaleurs sur plage
  • 1976 : Sleepy Bread
  • 1976 : Le monstre du château
Blue Holocaust, l'affiche

© 1979 D.R. Comunicazioni di massa / Les films Jacques Leitienne. Tous droits réservés.

 

  • 1976 : La grande culbute
  • 1976 : Yoon la terreur de Ta Kang
  • 1976 : Vices privés, vertus publiques
  • 1976 : Le Parrain a le bras long
  • 1976 : La grande bagarre
  • 1976 : On continue à l’appeler Trinita (reprise)
  • 1976 : Luxure
  • 1976 : L’innocent (L’innocente)
  • 1976 : 1976 : Rêves lubriques
  • 1976 : Le trésor de l’Atlas
  • 1976 : Le canard à l’orange
  • 1976 : 4 malfrats pour un casse
  • 1976 : Afrique… Adieu / Adieu Afrique
  • 1977 : Suspiria
  • 1977 : Les aventuriers des Caraïbes
  • 1977 : La prof du bahut
  • 1977 : Train spécial pour SS
  • 1977 : Festival du plaisir
  • 1977 : La toubib du régiment
  • 1977 : Exaspération sexuelle
  • 1977 : Trinita ne pardonne pas
  • 1977 : Les 21 heures de Munich
  • 1977 : Machines à Tuer
  • 1977 : Oh Serafina ! / La putain du village
  • 1977 : L’homme à la Winchester d’or
  • 1977 : Le bataillon en folie
  • 1977 : Enquête sur la sexualité
  • 1977 : Marche pas sur mes lacets
  • 1977 : La toubib aux grandes manœuvres
  • 1977 : Convoi de femmes
  • 1977 : Nous sommes des juifs arabes en Israël
Apocalypse dans l'océan rouge, affiche du film de Lamberto Bava

© 1984 National Cinematografica – Nuova Dania Cinematografica – Filmes International – Les Films du Griffon / Affiche : Enzo Sciotti. Tous droits réservés.

  • 1978 : Mon nom est personne (reprise)
  • 1978 : Papa en a deux
  • 1978 : La prof donne des leçons particulières
  • 1978 : Nathalie rescapée de l’enfer nazi
  • 1978 : Les Cheeries font des ravages (Les majorettes aux pieds chauds)
  • 1978 : Les farceurs de l’école mixte
  • 1978 : Ma copine de la fac
  • 1978 : Embraye bidasse, ça fume
  • 1978 : Tire pas sur mon collant
  • 1978 : La prof et les cancres
  • 1978 : La flic chez les poulets
  • 1978 : Marche pas sur ma virginité
  • 1978 : La toubib prend du galon
  • 1978 : Le gynéco à la mutuelle
  • 1979 : Le continent des hommes poissons
  • 1979 : La fièvre américaine
  • 1979 : Un jouet dangereux (ex Alors moi… je me paie un flingue)
  • 1979 : Le dernier combat de chien
  • 1979 : Yéti le géant d’un autre monde
  • 1979 : Les lycéennes redoublent
  • 1979 : La prof connaît la musique
  • 1979 : A mon petit puceau
  • 1979 : On est venu là pour s’éclater
  • 1979 : Ratataplan
  • 1979 : Où es-tu allé en vacances ?
  • 1979 : La rage de la casse
  • 1980 : Le bateau de la mort
  • 1980 : Chaleurs exotiques
  • 1980 : New York Connection
  • 1980 : Fièvre de femme
  • 1980 : L’infirmière de l’hosto du régiment
  • 1980 : La Lycéenne est dans les vaps
  • 1980 : Le dernier des condors
  • 1980 : La flic à la police des mœurs
  • 1980 : Quinto à ne pas tuer
  • 1980 : Pardon, vous êtes normal ?
  • 1980 : Le trou aux folles
  • 1980 : Que fais-tu, grande folle ?
  • 1980 : Mieux vaut être riche et bien portant que fauché et mal foutu
  • 1980 : Cherchez l’erreur
  • 1980 : On en a rien à secouer
  • 1980 : Les temps sont durs pour Dracula
  • 1980 : L’été de la peur
  • 1980 : Jeune fille au pair
  • 1980 : Le harem de Néron
  • 1981 : Effroi
  • 1981 : Brigade anti-viol
  • 1981 : La tour Eiffel en otage
  • 1981 : La novice se dévoile
  • 1981 : La baigneuse fait des vagues
  • 1981 : Les zizis baladeurs
  • 1981 : Rivages sanglants
  • 1981 : L’infirmière a le bistouri facile
  • 1981 : La lycéenne fait de l’œil au proviseur
  • 1981 : Baiser macabre
A 16 ans dans l'enfer d'Amsterdam, l'affiche

© 1984 Beatrice Film – Les Films Jacques Leitienne – Imp.Ex.Ci. / Illustrateur : Enzo Sciotti. Tous droits réservés.

  • 1981 : Les bidasses aux grandes manœuvres
  • 1981 : Belles, blondes et bronzées
  • 1981 : Comment draguer toutes les filles
  • 1981 : Reste avec nous, on s’tire
  • 1981 : La terreur des zombies
  • 1981 : Confessions d’un moniteur d’auto-école
  • 1981 : Confessions d’un moniteur de club de vacances
  • 1981 : Messe noire
  • 1982 : Mon curé chez les nudistes
  • 1982 : Les péquenots
  • 1982 : La zézette plaît aux marins
  • 1982 : Qu’est-ce qui fait craquer les filles
  • 1982 : N’oublie pas ton père au vestiaire
  • 1982 : Les secrets de l’invisible
  • 1982 : Camp disciplinaire (The Line)
  • 1982 : Croissants à la crème
  • 1982 : Le cancre du bahut
  • 1982 : La prof d’éducation sexuelle
  • 1982 : Plus il est con, plus il s’en donne l’air
  • 1982 : Blue Holocaust
  • 1982 : Le coq du village
  • 1983 : Mon curé chez les Thaïlandaises
  • 1983 : On l’appelle catastrophe
  • 1983 : On n’est pas sorti de l’auberge
  • 1983 : Ironmaster, la guerre de fer
  • 1983 : Pénitencier de femmes
  • 1983 : La fille de Trieste
  • 1983 : Les planqués du régiment
  • 1983 : Révolte au pénitencier de filles
  • 1983 : En cas de guerre mondiale, je file à l’étranger
  • 1983 : Confessions amoureuses d’un batteur de charme
  • 1983 : Confessions d’un laveur de carreaux
  • 1983 : Crime au cimetière étrusque
  • 1983 : Le colonel en folie
  • 1983 : Mon curé va en boîte
  • 1984 : 2019 après la chute de New York
  • 1984 : Les branchés de Saint-Tropez
  • 1984 : Mon nom est personne (reprise)
  • 1984 : Du rouge pour un truand
  • 1984 : Le gladiateur du futur
Le gladiateur du futur, l'affiche

© 1983 Filmirage / Affiche : Enzo Sciotti. Tous droits réservés.

  • 1984 : Les brésiliennes du bois de Boulogne
  • 1984 : Le challenger
  • 1984 : Break dance and Smurf
  • 1984 : Fort Bronx* (sorti initialement sous le titre New York Connection, en 1980)
  • 1984 : Blastfighter l’exécuteur
  • 1984 : Le fou du roi
  • 1984 : A 16 ans dans l’enfer d’Amsterdam
  • 1984 : Comment draguer tous les mecs
  • 1984 : Les rats de Manhattan
  • 1984 : L’été ardent
  • 1985 : Le Pactole
  • 1985 : C.H.U.D. (Cannibale Humanoïde Usurpateur Dévastateur)
  • 1985 : Le gaffeur
  • 1985 : Les nuits chaudes de Cléopâtre
  • 1985 : Double zéro de conduite
  • 1985 : La femme pervertie
  • 1985 : Prison de femmes en furie (Prison des femmes en furie) de Michele Massimo Tarantini
  • 1985 : Y a pas le feu
  • 1985 : Apocalypse dans l’océan rouge
  • 1986 : Critters
  • 1986 : L’exécutrice
  • 1986 : L’enchaîné
  • 1986 : L’esclave Blonde
  • 1986 : La loi des seigneurs
  • 1986 : The Vindicator Frankenstein 2000
  • 1986 : Schizophrenia le tueur de l’ombre
  • 1986 : Scandaleuse Gilda
  • 1986 : La machine à découdre
La retape, l'affiche

© 1985 Filmirage
– Golden Hawk Entertainment – M.A.D. Film. Tous droits réservés.

  • 1986 : Les fantasmes de Miss Jones (Sensuella)
  • 1986 : 2 enfoirés à Saint-Tropez
  • 1986 : Tex et le seigneur des abysses
  • 1986 : Prisonnières de la vallée des dinosaures
  • 1986 : La retape
  • 1986 : Atomic Cyborg (Ex Le cyborg aux mains de pierre)
  • 1987 : Air Force Academy
  • 1987 : La maison de la terreur
  • 1987 : Bianco Apache
  • 1987 : Scalps
  • 1987 : On l’appelle sœur désir
  • 1987 : Police des mœurs
  • 1987 : On se calme et on boit frais à Saint-Tropez
  • 1987 : Central Park Driver
  • 1987 : Renegade
  • 1987 : Le temple du dieu soleil
  • 1987 : Rita, Sue et Bob aussi (Rita, Sue and Bob Too)
  • 1987 : La prison des sévices
  • 1988 : Mont Dragon (reprise)
  • 1988 : Miss Arizona
  • 1988 : 2 flics pourris
  • 1988 : L’enfer vert
  • 1988 : Adieu je t’aime
  • 1988 : La Vénitienne
  • 1988 : Class 89
  • 1988 : Killing Birds, l’attaque des morts-vivants
  • 1988 : Une bringue d’enfer
  • 1988 : Uppercut
  • 1988 : L’empire des ninjas
  • 1988 : La queue de la comète
  • 1989 : Le scorpion rouge
  • 1989 : Fantômes à louer – la maison des spectres
  • 1989 : Love Dream
  • 1989 : Manolo
  • 1989 : La section
  • 1989 : Class 92
  • 1989 : Cols de cuir
  • 1989 : Le tueur de la pleine lune
  • 1989 : La chevauchée de feu
  • 1989 : Last Platoon

On notera également quelques reprises de classiques américains signés Les Films Jacques Leitienne : La rivière sans retour, Le jour où la terre s’arrêta, Le jardin du diable, La colline de l’Adieu…

Toutes nos critiques des films Jacques Leitienne ici...

Box-office Les Films Jacques Leitienne :

  1. Mon nom est Personne (1973) : 4 734 119
  2. On continue à l’appeler Trinita (1972) : 3 038 838
  3. On l’appelle Trinita (1971) : 2 624 948
  4. Dieu Pardonne… moi pas ! (1972) : 1 812 092
  5. Arrêtez les tambours (1961): 1 632 220
  6. La grosse pagaille (1969) : 1 548 978
  7. Le petit vagabond (1963) : 1 336 975
  8. Le dernier train de Shanghai (1961) : 1 311 743
  9. Mont-Dragon (1970) : 1 259 182
  10. La religieuse de Monza (1969) : 1 231 336
  11. Mon curé chez les nudistes (1982) : 1 173 770
  12. La toubib du régiment (1977) : 1 163 175
  13. Espionnage à Bangkok pour U-92 (1965) : 1 076 210
  14. Les diables rouges face aux SS (1963) : 1 051 329
  15. Le petit gondolier (1965) : 1 010 869
  16. Baroud à Beyrouth pour F.B.I. 505 (1966) : 980 359
  17. La prof du bahut (1977) : 909 476
  18. Les diables vers de Monte Cassino (1960) : 890 939
  19. Les joyeux lurons (1972) : 887 550
  20. Les poupées du vice (1958) : 850 987
Les poupées du vice de Wolfgang Glück; distribué par Jacques LEITIENNE

© Les Films Jacques Leitienne

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