Laure Calamy dans 10 pour 100, photographiée par Christophe Brachet – FTV
Laure Calamy dans 10 pour 100, photographiée par Christophe Brachet – FTV
Formée au Conservatoire, Laure Calamy se partage entre théâtre et cinéma depuis 2001. Sur scène, elle est dirigée par Olivier Py, Vincent Macaigne ou Catherine Hiegel, dont la mise en scène du Jeu de l’amour et du hasard lui permet d’obtenir le Molière de la comédienne dans un spectacle de théâtre privé (2018).
Au cinéma, Laure Calamy interprète d’abord des rôles secondaires, caissière dans Bancs publics (Versailles Rive-Droite) (2009) de Bruno Podalydès, invitée dans Un plan parfait (2012) de Pascal Chaumeil, ou collègue de Sandrine Kiberlain dans 9 mois ferme (2013) d’Albert Dupontel.
On la remarque aussi dans Fidelio, l’odyssée d’Alice (2014) de Lucie Borleteau, Les cowboys (2015) de Thomas Bidegain, et Rester vertical (2016) d’Alain Guiraudie.
Son interprétation de la mère d’Ava (2017), pour Léa Mysius, lui vaut une nomination au César de la meilleure actrice dans un second rôle.
Collègue de Romain Duris dans Nos batailles (2018) de Guillaume Senez, amie de Cécile de France dans Mademoiselle de Joncquières (2018) d’Emmanuel Mouret, ou sœur de Virginie Efira dans Sibyl (2019) de Justine Triet, Laure Calamy accède aux premiers rôles avec l’étrange Seules les bêtes (2019) de Dominik Moll et Antoinette dans les Cévennes (2020) de Caroline Vignal, qui obtient un gros succès. Pour sa composition solaire, elle obtient le César de la meilleure actrice. On la retrouve dans Une femme du monde (2021) de Cécile Ducrocq.
Titres
Notes
Drame social
Comédie dramatique