Miracle français. C’est désormais la France qui présente l’édition HD d’In Bed With Madonna la plus complète. Un must d’une beauté redoutable chez Bubbel Pop. On revient sur un documentaire de légende qui réinventa le genre en 1991.
Synopsis : Plongée très intime dans l’univers de la chanteuse Madonna, à travers les différentes étapes de tournée mondiale “The Blonde ambition tour” de 1990.
La critique et analyse du box-office de In Bed With Madonna
2025. Coffret Collector Fnac d’In Bed With Madonna, édité par Bubbel Pop © Boy Toy, inc. & Dino de Laurentiis Communications. Package Design : Metro-Goldwyn-Mayer Studios © Tous droits réservés
Critique : En proposant le documentaire In Bed With Madonna en DVD-blu-ray collector, l’éditeur Bubbel Pop qui s’est illustré cette année avec Recherche Susan Désespérément et Requiem for a Dream, marque une nouvelle fois le secteur de l’édition d’un coup de maître, parant le film musical fougueux et novateur de sa meilleure édition mondiale à ce jour.
Retour sur un bijou pop qui nous fait autant d’effet aujourd’hui qu’en son temps où il faisait figure de phénomène médiatique. Et pour cause.
1991. Au plus beau de son rayonnement d’icône, Madonna domine le monde de par sa célébrité totale. Sa musique inonde les ondes et ses frasques font d’elle la Une des médias de la planète sans discontinuer.
Après le Blond Ambition Tour, qui pose les codes des tournées mondiales modernes, le film Dick Tracy, adapté d’un comic, déborde de l’écran grâce à la bande originale I’m Breathless. L’idole iconoclaste d’une Amérique bien-pensante ose un best-of épique, au titre sulfureux d’Immaculate Collection, qui marque la fin des années 80 et s’écoule à plus de 30 millions d’exemplaires vendus dans le monde. La papesse de la liberté d’expression et d’un féminisme gonflé au culot déferle en Marie-Antoinette aux MTV Awards, multiplie les scandales épidermiques qui irritent les conservateurs jusqu’au pape Jean-Paul II, single le numéro 1 des dancefloors, Vogue, lui permet de démarrer la décennie avec un tube glamour indémodable quand le vidéo-clip érotique Justify My Love, tourné à Paris par Mondino, la rend infréquentable sur le média adolescent phare, MTV. Rien n’est comparable au règne médiatique de Madonna, pas même Michael Jackson, dont la personnalité en retrait et ses pauses musicales laissent à la Madone les coudées franches pour dominer le monde.
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Même au cinéma, les anti-Madonna ne peuvent avoir la paix. En début d’année 1991, Madonna tourne pour Woody Allen et se présente, justement, aux bras de Bambi aux Oscars, où la chanteuse interprète Sooner or Later. Effectivement, l’ogresse blonde s’associe de plus en plus au cinéma. Et c’est ainsi en avril que le Festival de Cannes annonce en sélection officielle Hors Compétition Truth or Dare, documentaire produit par Madonna (Boy Toy Inc.) et Dino De Laurentiis (Propaganda Films). Il est présenté en avant-première mondiale aux États-Unis par la société d’Harvey Weinstein, Miramax.
Madonna Truth or Dare est un nouveau moyen pour Madonna d’occuper la scène médiatique de façon totale. La présentation cannoise, le 15 mai 1991, tourne à la congestion historique autour du Palais des Festivals : jamais une telle affluence n’avait secoué ses fondations. La Madonnamania bat encore son plein comme toujours depuis le milieu des années 80, avec le même sens du marketing, de l’omniprésence sur les différents canaux culturels. Madonna est la femme la plus célèbre de la planète, la première mégastar de la scène pop à dicter ses choix aux médias capitalistes dirigés par des hommes à la fois séduits et agacés par ses audaces et libertés, priant Dieu que le phénomène cesse au plus vite. La bourrasque n’avait aucune intention d’abdiquer. Elle restera la Reine de la pop.
Avec In Bed with Madonna (titre international plus évocateur que Truth or Dare), Madonna redéfinit, de par son flair, son instinct de businesswoman et de créatrice de tendances totales, le documentaire musical. Désormais, il devra alterner les moments de scène spectaculaires à la gloire de l’artiste et des apartés intimes dans des coulisses exhibitionnistes où la mégastar est en libre accès. Madonna se livre à un rapport de force permanent. Dans son rapport au pouvoir, à sa troupe de danseurs, aux médias, aux autorités religieuses ou aux autorités venues là pour l’arrêter pour obscénité, aux autres stars qu’elle snobe, aux hommes qu’elle mange, à la scène qu’elle domine, à la famille sur laquelle elle prend sa revanche et à son père qui ne pourra plus dicter sa vie. Un rapport de force permanent sur deux heures de métrages sélectionnées parmi des centaines de rushes impudiques qui transpire d’ambition, de générosité, de verticalité; mais aussi d’un sens parfait du contrôle de son image. A la vie, qu’elle brûle mais avec des limites, celles d’une maturité faussement dissimulée sous un esprit de déconne de femelle alpha, à la mort, qui traverse le métrage lors scènes émouvantes qui tissent un lien indestructible avec sa mère morte trop tôt ou certains de ses amis morts du sida qui décimait les homosexuels dans l’indifférence ou la haine de la société reaganienne. Le cancer gay, même qu’il s’appelait à l’époque.
Photo promotionnelle In Bed With Madonna © Steven Meisel. Tous droits réservés
La mort, c’est d’ailleurs ce sentiment qui règne quelque peu sur le métrage, avec le recul. La mort de son danseur, Gabriel Trupin, décédé du sida en 1995, le frère de Madonna, Christopher (2024), Anthony (2023), bien présents dans cette œuvre somme, et en faisant montre d’ironie dramatique de la mort de la carrière de Warren Beatty, “manfriend” mature contemporain au tournage, mais dont Dick Tracy sera le chant du cygne au box-office. D’autres vedettes traversent le long en caméo ou à l’occasion de joutes verbales vipérines qui démontrent que Madonna a survécu à tous, dans sa longévité de carrière, mais aussi de santé. Kevin Costner humilié, Almodovar, Antonio Banderas, Olivia Newton-John, Matt Dillon, Sandra Bernhard, Al Pacino… De quoi se rincer l’œil lors de moments excentriques et imprévisibles qui ratissent la jet set d’une époque.
Film testament d’une chanteuse dans sa phase platine, In Bed With Madonna est passionnant dans sa capacité à capturer une époque écrasée par la prédation culturelle d’une chanteuse qui laissait peu de place aux autres, au sommet de son ère de putain glamour qui ébranlait les canons au gré d’oxymores déroutants : la santa puttana est un produit sublime qu’elle a créé elle-même à la force de son art, l’artiste se joue des hommes, en compagnie des marginaux de l’époque et installe un discours féministe unique en son temps, en affichant un humour cocasse ou en sondant le spleen de l’artiste offshore et onstage, dans un noir et blanc du réel qui contraste avec les énergiques scènes de concert, magnifiquement immortalisées en couleur par le réalisateur de l’intime et de l’envergure Alek Keshishian.
Photo promotionnelle In Bed With Madonna © Steven Meisel. Tous droits réservés
En 1991, Madonna est la culture pop et In Bed With Madonna nous rappelle sa primauté en tant que documentaire révolutionnaire qui pose tous les jalons pour les copines chanteuses qui s’essaieront au format sans jamais atteindre le cœur du phénomène, tant elles paraîtront corsetées par les faits et gestes de l’artiste qui a dicté toutes les règles à suivre pour les décennies à venir.
In Bed With Madonna, désormais en blu-ray, nous paraît toujours aussi flamboyant en 2025.
Test blu-ray d’In Bed With Madonna (2025)
Bubbel Pop aime Madonna. Après un premier coffret collector de poids dédié à la chanteuse et édité en décembre 2024 (Recherche Susan Désespérément, dont on vous invite à lire le test ici), l’éditeur réitère avec un deuxième objet collector. Cette édition française d’In Bed With Madonna est la plus riche sortie dans le monde, un must que les fans de l’artiste, dans le monde entier, sauront nous envier. A ce jour, au-delà de la VHS best-seller de la Fox, dans les années 90, aucune édition française du documentaire musical n’avait satisfait les stars de la chanteuse. Pis, il aura fallu dans l’Hexagone attendre 2025 pour que le film puisse prétendre à une sortie haute-définition.
Le test blu-ray a été réalisé à partir d’une édition collector Fnac définitive fournie par l’éditeur dont on apprécie l’envergure de l’ambition pour proposer des sorties fournies.
Packaging & Compléments : 5 / 5
Dans une édition qui pousse à l’enthousiasme, on commencera par un petit point négatif. In Bed With Madonna, le coffret, change de format par rapport à celui de Recherche Susan désespérément. Pour les collectionneurs et amateurs de sorties physiques, c’est toujours quelque-chose qui irrite, car cela rend les rangements problématiques. Tout éditeur devrait instaurer dès son premier titre une charte graphique à suivre, ce qui fidélise sa clientèle. Sur ce plan là, on est déçu. En revanche, sur un plan pratique, le coffret est plus serré, plus harmonieux, et ses goodies sont élégants et très appréciables.
Ainsi, l’éditeur présente une reproduction du dossier de presse cannois édité en 1991, une pièce donc historique dans son contenu, qui personnalise l’édition au plus près. C’est un type de supplément physique dont raffole l’éditeur Carlotta et l’on trouve cette présence ici d’autant plus formidable que le dossier est illustré par de belles photos promotionnelles signées Steven Meisel.
Ensuite, ce sont quatre croquis représentant Madonna et l’équipe du Blond Ambition tour, estampillés Jean-Paul Gaultier, qui sont regroupés sous forme de cartes assez luxueuses. Elles mettent en avant les tenues iconiques que portent l’artiste et ses danseurs durant le show et sont donc indissociables du film. Une initiative encore une fois plus que louable.
2025. Coffret Collector Fnac d’In Bed With Madonna, édité par Bubbel Pop © Boy Toy, inc. & Dino de Laurentiis Communications. Package Design : Metro-Goldwyn-Mayer Studios © Tous droits réservés
Quatre photos ont été sélectionnées pour enrichir le collector exclusif à la Fnac. On aurait aimé avoir une reproduction exacte de toutes les photos d’exploitation que le distributeur AAA avait proposé en France, avec le logo du film dessus, mais c’est déjà un bel effort pour agrémenter ce coffret.
Ensuite, c’est une affiche internationale du film, avec le titre In Bed With Madonna et non celui de Truth or Dare, destiné au marché américain, qui est proposé. Le visuel est magnifique et c’est vraiment la bonne idée de ce coffret, rapporter cette affiche d’excellence à cette édition vraiment enthousiasmante qui sort pas moins de 34 ans après la distribution en salle.
Curieusement le film, présenté en DVD et blu-ray, lui, ne dispose pas d’un digipack mais d’un boitier amaray habillé d’un étui cartonné plutôt épais et estampillé du chiffre 1, appelant d’autres collectors. Notre désamour pour les amarays et leur plastique devra faire avec.
Contrairement à Recherche Susan Désespérement qui bénéficiait d’un livret de plus de 90 pages sous forme de petit livre, il faudra se contenter cette fois-ci d’un livret de 23 pages qui a été glissé dans l’amaray. L’isoler dans le collector avec un format papier plus rigide aurait mieux habillé le coffret. Il s’agit très certainement d’un livret également disponible dans l’édition blu-ray standard. Le livret revient notamment sur la carrière du film dans le monde, ce qui est toujours pertinent.
Bref, au niveau du packaging, In Bed With Madonna, édition collector française, est de loin le plus bel objet autour du film à l’échelle mondiale. Il n’est pas étonnant que son stock se soit vite effondré dans les Fnac de France, puisque, ne l’oublions pas, il s’agit d’une exclusivité Fnac. Les sites consacrés à Madonna dans le monde entier ont vite fait référence vers cet objet au design soigné qui saura resplendir dans les collections des fans de la chanteuse. Il faudra donc se presser pour acquérir ce parangon de collector avant son inévitable disparition.
Les suppléments audiovisuels ne sont pas en reste. Pour des questions de droits ou de moyens, le disque ne dispose d’aucun bonus impliquant la chanteuse et autres intervenants anglophones. C’est sûrement une déception pour les fans hardcore, en revanche, au niveau du contenu, les quatre entretiens proposés sont passionnants et très précis. Ils apportent un éclairage factuel précieux. Il s’agit là de plus de 110 minutes de compléments, ce qui est considérable.
Madonna à l’écran par Samuel Blumenfeld est extrêmement juste dans son analyse subjective de la carrière de Madonna au cinéma. Blumenfeld est comme toujours pointu et un magnifique historien du cinéma à écouter, même si on peut avoir quelques désaccords avec lui sur certaines analyses. Un pur moment de cinéphilie.
La demi heure consacrée à la programmation du film à Cannes est le supplément le plus original. L’équipe de Bubbel Pop a rencontré pour l’occasion l’attaché de presse français du film qui a eu les honneurs d’accompagner le film en France. Pour ceux qui sont intéressés par la distribution et tout ce qui entoure la sortie d’une œuvre en salle, c’est d’une richesse incroyable en proposant un éclairage que peu de gens connaissent. Ce type de bonus est rare et il faut savoir saisir l’occasion, surtout comme dans un cas comme celui-ci où le film a été développé de façon secrète et a bénéficié d’une projection cannoise surmédiatisée qui méritait d’une mise en contexte.
Le bonus suivant, 35 ans après, donne cette fois-ci la parole pendant 31 minutes, à Olivier Cachin. Le roi du hip hop est aussi un fin connaisseur de la carrière de Madonna, et il a parfaitement travaillé sa partition qui porte sur la pertinence d’In Bed With Madonna en tant que documentaire musical révolutionnaire qui changea a jamais la façon de faire un film musical. Comme le dit le journaliste, avec de nombreux exemples en tête, il y a eu un avant et un après Truth or Dare (titre américain). Plus rien ne sera comme avant après la sortie de cet exercice de style mégalo-musical.
In Bed With Madonna, édition simple DVD+Blu-ray (Bubbel Pop, 2025). Package Design : Metro-Goldwyn-Mayer Studios © Tous droits réservés
Le dernier supplément accorde la parole à Jérôme Brucker, actuellement directeur artistique chez Warner Chappell Music France. On peut être dubitatif sur sa présence pour nous évoquer In Bed With Madonna. Pour cause, le monsieur qui accompagnait toutes les sorties de Madonna dans les années 2000 au sein de Warner Music France, n’était pas très âgé lors de la sortie du documentaire. Il ne faudra donc pas compter sur lui pour apprendre quelque chose sur l’oeuvre à laquelle il n’est pas directement rattachée. En revanche, son intervention est extrêmement à-propos et originale, puisqu’en travaillant au plus près des sorties des blockbusters musicaux de la chanteuse dans les années 2000, comme American Life ou Confessions on a Dance Floor, ce responsable de la promo notamment radio, est un acteur incontournable pour nous ouvrir les archives promotionnelles de l’artiste. On est encore une fois au plus près de la star et de l’industrie musicale qui l’accompagnait, avec des anecdotes et un point de vue forcément rares. Sa perception d’In Bed, en revanche, est plus un point de vue de très jeune fan, avec un beau dosage d’admiration.
Au final, pour les Français, les bonus proposés sur l’édition 2025 d’In Bed With Madonna représentent le haut du panier dans ce que l’on peut proposer sur galette numérique. Ils sont à la fois pointus, fouillés et originaux. Ils s’écartent de la promotion lambda pour aller bien au-delà du fan-service. Ils accompagnent l’œuvre dans sa dimension historique, ce qui est, à la fois pour les fans mais aussi pour les cinéphiles, extrêmement stimulant.
Photo promotionnelle In Bed With Madonna © Steven Meisel. Tous droits réservés
L’image du blu-ray d’In Bed With Madonna : 4 / 5
Extrêmement stylé, In Bed With Madonna bénéficiait d’un contraste artistique particulièrement prégnant lors de sa sortie en salle en 1991. Le documentaire étant réalisé dans un noir et blanc réaliste, à la définition volontairement rugueuse, rappelant le clip de Mondino Justify My Love, parsemé de moments musicaux d’envergure, dans une définition volontairement plus cinématographique, ample et en couleur.
En 2025, Bubbel Pop nous propose l’édition la plus satisfaisante à ce jour. Une évidence depuis la première édition DVD, en 1997, chez Live Entertainment. A l’époque, l’éditeur américain de Basic Instinct, Terminator 2, et Total Recall sortait aux USA la première édition numérique du film avec la Ciccone au lit ; elle fera longtemps référence. Avouons toutefois qu’elle était aussi dépassée depuis longtemps. Aucun des masters suivants, tant chez MGM que chez BQHL (qui proposa une édition française peu mémorable en DVD en 2016, ne nous satisfait).
Bubbel Pop propose le documentaire musical avec un rendu éclatant. Le noir et blanc a perdu son grain insistant qui pouvait irriter en VHS, et les scènes dites “live” sont dynamisées par des couleurs vives qui ne surjouent pas l’accentuation et investissent l’espace scénique de façon majestueuse.
On ne proposera pas de note maximale car évidement, la restauration n’a pas bénéficié d’un transfert 4K. L’œil aguerri à cette haute définition qui est omniprésente dans nos vies (au cinéma, sur nos écrans de télé, et désormais au service de bien des classiques) voit encore une marge de progrès, mais à ce jour, c’est de très loin la plus belle copie d’In Bed sur le marché. Un must-have.
Le son du blu-ray d’In Bed With Madonna : 4 / 5
Exit le son stéréo de l’édition BQHL qui était totalement archaïque, Bubbel Pop fait honneur au matériau musical en proposant deux pistes 5.1 DTS HD Master Audio.
Une œuvre comportant des prestations musicales live se doit de proposer des pistes audio multicanales, une évidence que BQHL n’avait pas saisi en 2016, avec son édition sans bonus en stéréo.
Dans son premier blu-ray français, Truth or Dare se pare de beaux moments de spatialisation lors des séquences de concert enregistrées à Bercy, en 1990, essentiellement pour mettre en scène la réaction du public qui est bien présent en arrière. S’il n’y a pas eu un travail multicanal sur les chansons de la madone (ce que ne pouvait pas faire Bubbel Pop à son niveau), la prestation offerte est ample, profuse et suffisamment dynamique pour transformer son salon en extension d’arena.
Evidemment, les moments intimes en noir et blanc demeurent frontaux, mais gagnent en éloquence et clarté.
L’éditeur a gratifié sa galette de la piste française originelle en bonus. Elle était disponible dès 1991 dans certaines salles de cinéma et bien présente en VHS en alternative à la VOSTF, sur la même édition (ce qui était très rare alors). Nous ne l’avons pas testée, car nous ne voyons pas l’intérêt de voir ce film du réel doublé (la voix de Madonna étant tellement connue). Mais on est reconnaissant à l’éditeur de l’avoir incluse. Elle fait partie intégrante de l’histoire du film en France et intègre parfaitement la dimension patrimoniale de cette édition vidéo hors du commun.
Chapeau.
La critique et analyse du box-office de In Bed With Madonna
Becoming Madonna, l’autre documentaire évènement à découvrir
2025. Coffret Collector Fnac d’In Bed With Madonna, édité par Bubbel Pop © Boy Toy, inc. & Dino de Laurentiis Communications. Package Design : Metro-Goldwyn-Mayer Studios © Tous droits réservés
