Olga Kurylenko est la révélation féminine de Quantum of Solace. Cette Ukrainienne aux mensurations de top model, avait été précédemment à l’affiche de l’adaptation de la BD Max Payne avec Mark Wahlberg.
C’est en France, à l’âge de 17 ans, qu’Olga Kurylenko a démarré sa carrière, successivement L’annulaire, de Diane Bertrand, Le serpent d’Eric Barbier et le segment Quartier de la Madeleine dans l’anthologie Paris, je t’aime face à Elijah Wood… Mais c’est surtout dans Hitman, en 2007, que l’actrice explose.
Olga Kurylenko, le visage féminin aux 1001 rôles
Depuis, on a pu la voir dans de nombreuses productions internationales, destinées à un grand public ou à une audience d’art et d’essai. On citera, en vrac, There Be Dragons de Roland Joffé (2010), Centurion de Neil Marshall (2011), Sept psychopathes de Martin McDonagh (2012), À la merveille (To the Wonder) de Terrence Malick (2012), Oblivion de Joseph Kosinski, avec Tom Cruise (2013), The November Man de Roger Donaldson (2014), La Promesse d’une vie (The Water Diviner) de Russell Crowe (2014), Dans la brume de Daniel Roby (2018), L’Homme qui tua Don Quichotte de Terry Gilliam (2018), Johnny English contre-attaque (Johnny English Strikes Again) de David Kerr (2018), L’Empereur de Paris de Jean-François Richet (2018) et Les Traducteurs de Régis Roinsard (2020).
Frédéric Mignard