Note des spectateurs :

Cannes Classics 2021 met en avant Mark Cousins, Satochi Kon, Kinuyo Tanaka, Jacques Doillon, Luis Buñuel, Yves Montand et autres artistes.

Bandeau Cannes 2021 bleu

© FDC / Philippe Savoir (www.filifox.com)

Lever de rideau avec le documentaire de Mark Cousins en pré-ouverture ; la redécouverte de la réalisatrice-actrice Kinuyo Tanaka et de la réalisatrice, actrice, scénariste et productrice espagnole Ana Mariscal ; un hommage au réalisateur et acteur Bill Duke ; un gros plan sur le premier réalisateur afro-américain Oscar Micheaux ; la Palme d’or de 1959 ; les soixante-dix ans des « Cahiers du Cinéma » ; la pudeur de Jacques Doillon ; une merveille de Michael Powell et Emeric Pressburger ; la Film Foundation de Martin Scorsese et le World Cinema Project ;  le premier rôle de Tilda Swinton ; du cinéma venu de Côte d’Ivoire, d’ex-Yougoslavie, d’Italie et d’ex-Tchécoslovaquie ; le film d’Alain Resnais à Cannes en 1966 ; Irène Jacob filmée par Krzysztof Kieślowski et Jeanne Moreau par Philippe de Broca ; du polar français ; des films « soviétiques » que Cannes accueillait en Compétition; la magie d’Orson Welles ; le style de Max Ophüls ; quatre documentaires-événements sur Jeremy Thomas, Satoshi Kon, Luis Buñuel et Yves Montand ; un docu-fiction plein de fureur cinéphile; et vingt ans après, le mystère non résolu de Mulholland Drive

Kinuyo Tanaka © Nikkatsu / Carlotta

Hommage à Bill Duke : The Killing Floor
The Killing Floor de Bill Duke (1985, 1h58, États-Unis)
En commémoration du 100ème anniversaire des émeutes raciales de Chicago en 2019.En présence de Bill Duke et de la productrice exécutive et coscénariste Elsa RassbachKinuyo Tanaka, actrice et réalisatrice
Tusk wa noborinu (La Lune s’est levée / The Moon Has Risen) de Kinuyo Tanaka (1955, 1h42, Japon)Ana Mariscal, l’Espagne au féminin
El camino (Le Chemin / The Path) d’Ana Mariscal (1964, 1h31, Espagne)Oscar Micheaux
Murder in Harlem d’Oscar Micheaux (1935, 1h36, États-Unis)
La projection sera précédée de :
Oscar Micheaux – The Superhero of Black Filmmaking de Francesco Zippel.
(1h20, Italie)En présence de Francesco ZippelOrfeu Negro, Palme d’or 1959
Orfeu Negro (Black Orpheus) de Marcel Camus (1959, 1h45, France / Brésil / Italie)Rossellini et les « Cahiers du Cinéma »
Francesco, giullare di Dio (Les Onze Fioretti de François d’Assise / The Flowers of St. Francis) de Roberto Rossellini (1950, 1h27, Italie)

 

Les films restaurés de Cannes Classics 2021

 

La Drôlesse (The Hussy) de Jacques Doillon (1978, 1h30, France)
En présence de Jacques Doillon I Know Where I’m Going! (Je sais où je vais !) de Michael Powell et Emeric Pressburger 
(1945, 1h32, Royaume-Uni)Lumumba : la mort du prophète (Lumumba : Death of a Prophet) de Raoul Peck
(1990, 1h09, France / Allemagne / Suisse / Belgique / Haïti)Friendship’s Death de Peter Wollen (1987, 1h18, Royaume-Uni)
En présence de Tilda SwintonBal poussière d’Henri Duparc (1989, 1h33, Côte d’Ivoire)La Double vie de Véronique (The Double Life of Veronique) de Krzysztof Kieślowski
(1991, 1h38, France / Pologne)
En présence d’Irène Jacob

F for Fake (Vérités et mensonges) d’Orson Welles
(1973, 1h25, France/ Iran / Allemagne)

Yashagaike (L’Étang du démon / Demon Pond) de Masahiro Shinoda (1979, 2h04, Japon)

La guerre est finie (The War is Over) d’Alain Resnais (1966, 2h01, France)

Échec au porteur (Not Delivered) de Gilles Grangier (1957, 1h27, France)

Chère Louise (Louise) de Philippe de Broca (1972, 1h45, France / Italie)

Napló gyermekeimnek (Journal intime / Diary for My Children) de Márta Mészáros
(1983, 1h49, Hongrie)
En présence de la réalisatrice Márta Mészáros et du chef opérateur Nyika Jancsó 

Až přijde kocour (Un jour, un chat / The Cassandra Cat) de Vojtech Jasný
(1963, 1h45, République tchèque)
En présence de l’actrice Emília Vašáryová

Monanieba (Le Repentir / Repentance) de Tenguiz Abouladzé (1984, 2h33, Géorgie)
En présence de l’acteur Avtandil Makharadze et de la scénariste Nana Janelidze

Dan četrnaesti (Le Quatorzième Jour / The Fourteenth Day) de Zdravko Velimirović
(1960, 1h41, Monténégro / Serbie)

Il cammino della speranza (Le Chemin de l’espérance / The Path of Hope) de Pietro Germi
(1950, 1h45, Italie)

Letter from an Unknown Woman (Lettre d’une inconnue) de Max Ophüls
(1948, 1h27, États-Unis)

Mulholland Drive de David Lynch (2001, 2h25, États-Unis)

 

Cannes Classics 2021 : les documentaires

 

The Storms of Jeremy Thomas (Les Tempêtes de Jeremy Thomas) de Mark Cousins (1h29, Royaume-Uni)
En présence de Jeremy Thomas et de Mark CousinsSatoshi Kon, l’illusionniste de Pascal-Alex Vincent (1h21, France / Japon)
En présence de Pascal-Alex Vincent Buñuel, un cineasta surrealista de Javier Espada (1h23, Espagne)
En présence de Javier EspadaMontand est à nous (All About Yves Montand) d’Yves Jeuland (1h40, France)
En présence d’Yves Jeuland et de Vincent JosseThe Story of Film: a New Generation de Mark Cousins (2h40, Royaume-Uni)
En présence de Mark Cousins

Et j’aime à la fureur (Flickering Ghosts of Love Gone By) de André Bonzel (1h50, France)
En présence de André Bonzel