Teodoro Corrà

Acteur
Mallory, 'M' comme la mort affiche du film

Personal Info

  • Nationalité : Italien
  • Date de naissance : 1934 à Rome (Italie)
  • Mort en : 1996 à Rome (Italie)

Biographie

Note des spectateurs :

Teodoro Corrà, également connu sous les noms de Teodoro Agrimi ou Doro Corrà, est un acteur italien né à Rome en 1934. C’est un second rôle récurrent du cinéma d’exploitation italien puisqu’on le retrouve dans de nombreux westerns, polizziotteschi et comédies érotiques.

Une carrière riche dans le western spaghetti

En 1959, il fait une première apparition dans un film d’aventures de Ferdidando Baldi, Due selvaggi a corte. En 1967, il tourne son premier western, Les longs jours de la vengeance, avec Giuliano Gemma et Gabriella Giorgelli. La même année, il joue aussi dans Vingt mille dollars sur le sept. Puis, en 1968, il apparaît dans l’excellent Chacun pour soi de Giorgio Capitani mais aussi le sympathique Cinq gachettes d’or. En 1969, il enchaîne Une longue file de croix , le très moyen La dernière balle à pile ou face et La horde des salopards.

Il continue d’apparaître dans des westerns assez moyens en 1970 avec notamment Django défie Sartana et son titre abusif, mais aussi Roy Colt et Winchester Jack de Mario Bava. En 1971, on le verra dans La vengeance est un plat qui se mange froid, et il jouera le rôle de l’antagoniste dans Mallory ‘M’ comme la mort, qui sera son dernier western.

Il se tournera par la suite vers la comédie poliziottesco, notamment avec des films tels que Un flic voit rouge ou Magnum 44 special. Sa dernière apparition à l’écran date de 1994, pour le film La pista bulgara de Stelvio Massi.

Corrà n’a pas été qu’acteur puisqu’il a également assuré le rôle de directeur de production sur un peu moins d’une quarantaine de films. Il a aussi officié en tant que scénariste sur une dizaine de projets, principalement des poliziotteschi et des comédies érotiques.

Teodoro Corrà est décédé à Rome en 1996.

Crédits visuels : © 1971 Attilio Tosato, Giuseppe Aquari, Cervo Film, Univers Galaxie. Tous droits réservés.

Kevin Martinez

 

Filmographie :

Acteur, longs métrages :

  • 1959 : Due selvaggi a corte, de Ferdinando Baldi
  • 1961 : La Terreur des mers (Il terrore dei mari), de Domenico Paolella
  • 1961 : Una spada nell’ombra, de Luigi Capuano
  • 1962 : Tempo di credere, d’Antonio Racioppi
  • 1965 : Soldati e caporali, de Mario Amendola
  • 1967 : Il vostro superagente Flit, de Mariano Laurenti
  • 1966 : Les longs jours de la vengeance ( I lunghi giorni della vendetta) de  Florestano Vancini
  • 1967 : Una ragazza tutta d’oro, de Mariano Laurenti
  • 1968 : Opération fric (Sette volte sette), de Michele Lupo
  • 1968 : Chacun pour soi (Ognuno per sé), de Giorgio Capitani
  • 1968 : Cinq Gâchettes d’or (Oggi a me… domani a te!), de Tonino Cervi
  • 1968 : La vuole lui… lo vuole lei, de Mario Amendola
  • 1968 : I ragazzi di Bandiera Gialla, de Mariano Laurenti
  • 1968 : Scusi, lei lo conosce il sesso?, de Vittorio De Sisti
  • 1968 : Vingt Mille Dollars sur le sept (20.000 dollari sul 7), d’Alberto Cardone
  • 1969 : La dernière balle à pile ou face (Testa o croce) de Piero Pierotti
  • 1969 : Django le Bâtard (Django il bastardo), de Sergio Garrone
  • 1969 : La Mort sonne toujours deux fois (Blonde Köder für den Mörder), de Harald Philipp
  • 1970 : L’île de l’épouvante (Cinque bambole per la luna d’agosto) de Mario Bava
  • 1970 : Django défie Sartana (Django sfida Sartana), de Pasquale Squitieri
  • 1970 : Roy Colt et Winchester Jack ( Roy Colt e Winchester Jack) de Mario Bava
  • 1970 : L’interrogatorio, de Vittorio De Sisti
  • 1970 : Il presidente del Borgorosso Football Club, de Luigi Filippo D’Amico
  • 1971 : Une saison en enfer (Una stagione all’inferno), de Nelo Risi
  • 1971 : Mio padre monsignore, d’Antonio Racioppi
  • 1971 : La vengeance est un plat qui se mange froid (La vendetta è un piatto che si serve freddo), de Pasquale Squitieri
  • 1971 : L’Œil de l’araignée (L’occhio del ragno), de Roberto Bianchi Montero
  • 1971 : Mallory ‘M’ comme la mort, de Mario Moroni
  • 1971 : Un polyvalent pas comme les autres (Stanza 17-17 palazzo delle tasse, ufficio imposte), de Michele Lupo
  • 1972 : Le Nouveau Boss de la mafia (I familiari delle vittime non saranno avvertiti), d’Alberto De Martino
  • 1972 : Les Autres Contes de Canterbury (Gli altri racconti di Canterbury), de Mino Guerrini : segment ‘La sposa ebrea’
  • 1972 : La Vengeance du Sicilien (Torino nera), de Carlo Lizzani
  • 1972 : La Filière (Afyon – Oppio), de Ferdinando Baldi
  • 1972 : La colonna infame, de Nelo Risi
  • 1973 : Ce cochon de Paolo (Paolo il caldo), de Marco Vicario
  • 1973 : L’Homme aux nerfs d’acier (Dio, sei proprio un padreterno!), de Michele Lupo
  • 1974 : La profanazione, de Tiziano Longo
  • 1974 : Lucrezia giovane, de Luciano Ercoli
  • 1974 : Il lumacone, de Paolo Cavara
  • 1975 : Un flic voit rouge (Mark il poliziotto), de Stelvio Massi
  • 1976 : Magnum 44 spécial (La legge violenta della squadra anticrimine), de Stelvio Massi
  • 1978 : Es pecado… pero me gusta, de Juan Bosch Palau
  • 1989 : Burro, de José María Sánchez
  • 1994 : La pista bulgara, de Stelvio Massi
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