Pour ses deux premiers films, Ari Aster fait fort, deux films d’épouvante hors normes où l’auteur s’exprime autant que le fan de cinéma de genre. Hérédité (2018) et Midsommar (2019) sont deux chefs-d’œuvre.
Pour ses deux premiers films, Ari Aster fait fort, deux films d’épouvante hors normes où l’auteur s’exprime autant que le fan de cinéma de genre. Hérédité (2018) et Midsommar (2019) sont deux chefs-d’œuvre.
C’est en 2018 que le monde du cinéma découvre Ari Aster, à l’ouvrage depuis 2011 dans le court (The Strange Thing About the Johnsons, c’était de lui), mais, la trentaine à peine franchie, il devient l’une des gloires montantes depuis la présentation de Hérédité à Sundance. Le film obtient alors des critiques dithyrambiques et un succès sur la durée dans les salles américaines (plus de 44 millions de dollars engendrées), valant au distributeur A24 son plus beau succès. Le film est oublié aux Oscars.
En 2019, il réitère et persiste dans le film d’horreur cérébral : Midsommar, d’une durée de 2h20min, pousse l’expérience visuelle au plus loin. Nous le qualifierons de film le plus fou de cette année-là.