Acteur suédois, David Dencik a passé une grande partie de son enfance au Danemark. Il retourne dans son pays natal au début des années 2000 pour y étudier l’art dramatique et le mime. Il démarre en même temps sa carrière cinéma dans Reconstruction (Boe, 2003) où il joue un barman. David Dencik tourne quelques séries télévisées, ainsi que de nombreux courts-métrages. Au cinéma, il obtient enfin un rôle important dans Erik Nietzsche, mes années de jeunesse (Thuesen, 2007) d’après un scénario d’un certain Lars von Trier.
On le retrouve ensuite à l’affiche de Millénium, le film (Oplev, 2009), du très bon Brotherhood (Donato, 2009) ou encore de La taupe (Alfredson, 2011).
Cette même année 2011, il obtient des rôles dans de grosses productions américaines comme Cheval de guerre (Spielberg) et Millénium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes (Fincher). On le retrouve ensuite à l’affiche de The Homesman (Jones, 2014), Les enquêtes du Département V : Profanation (Nørgaard, 2014), Serena (Bier, 2014), Régression (Amenábar, 2015), Le bonhomme de neige (Alfredson, 2017) et le faux Le coupable idéal (Haftrom, 2019) où il interprète le faux serial killer.
Parallèlement, David Dencik est également très présent à la télévision où il joue dans des séries importantes comme Top of the Lake et Chernobyl (où il incarne Gorbatchev).
Notons enfin qu’il est du casting du prochain James Bond Mourir peut attendre (Fukunaga, 2021).
