Un Noël en Californie : Les lumières de la ville est un sequel identique dans la forme au segment original, mettant en scène les Swickard, couple à la ville. Il boit du petit lait sur un script toujours écrit par Lauren Swickard. 

Synopsis : Depuis un an, Callie et Joseph vivent le grand amour et sont plus heureux que jamais. Mais alors qu’ils gèrent leur exploitation laitière et viticole, des obligations professionnelles et familiales rappellent Joseph à la ville. La belle histoire d’amour des deux tourtereaux pourrait bien en souffrir.

En route pour San Francisco

Critique : Un an après le succès d’Un Noël en Californie : Les lumières de la ville célèbre le succès d’un couple lisse sur la plateforme Netflix. Avec ses minois charmants et son intrigue de sitcom, Un Noël en Californie : Les lumières de la ville relève du téléfilm gentillet pour les 13-16 ans. Le naturel n’est pas vraiment au rendez-vous dans cette bluette sans finesse, mais pas désagréable tant qu’on adopte l’exigence de son public cible.

Un Noël en Californie : Les lumières de la ville, film téléphoné à voir sur son téléphone

Sur fond de promesses de mariage et de renversement de l’intrigue qui bascule à San Francisco, afin de permettre à l’héroïne, désormais orpheline, de découvrir qui était son bel étalon avant de la rencontrer (coureur de jupons urbain à la tête d’un empire…), le scénario gribouillé par l’actrice -scénariste est téléphoné. Cela coule de source au vu de l’outil de visionnage qu’utiliseront beaucoup d’adolescentes pour découvrir entre deux vidéos Tik Tok, cette production qui a décidément bien peu de magie de Noël à offrir pour la saison.

Un Noël en Californie : Les lumières de la ville aurait très bien pu sortir à la Saint-Valentin, son public n’en aurait pas été déconcerté.

Critique de Frédéric Mignard

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