Marina Malfatti

Actrice
Toutes les couleurs du vice, l'affiche

Personal Info

  • Nationalité : Italienne
  • Date de naissance : 25 avril 1933 à Florence (Italie)
  • Date de décès : 8 juin 2016 à Rome (Italie)
  • Crédit visuel : © 1972 VIP Media - Dania Films. Tous droits réservés.

Biographie

Note des spectateurs :

Actrice italienne, Marina Malfatti a suivi le cours Simon à Paris avant de revenir en Italie où elle débute au cinéma dans des petits rôles. Au théâtre, elle est également très active.

Au cours des années 60, elle acquiert une certaine popularité en Italie grâce à sa participation à des séries télévisées, activité qui deviendra prépondérante dans sa carrière. Sur grand écran, elle est surtout connue des amateurs de cinéma populaire rital grâce à ses participations remarquées à La ultima senora Anderson (Martin, 1969), L’appel de la chair (Miraglia, 1971), Le tueur à l’orchidée (Lenzi, 1972), Toutes les couleurs du vice (Martino, 1972), La dame rouge tua sept fois (Miraglia, 1972), Sans sommation (Gantillon, 1973).

A partir de 1976, Marina Malfatti abandonne définitivement le cinéma pour se consacrer exclusivement à son activité théâtrale (dans des œuvres prestigieuses du grand répertoire ou des créations originales) et télévisuelle.

Marina Malfatti décède en 2016.

Virgile Dumez 

Filmographie de Marina Malfatti

Actrice, longs métrages
  • 1959 : Le cameriere de Carlo Ludovico Bragaglia
  • 1960 : Une fille pour l’été d’Édouard Molinaro
  • 1962 : Un homme à brûler (Un uomo da bruciare) de Valentino Orsini et des frères Taviani
  • 1963 : Les Hors-la-loi du mariage (I fuorilegge del matrimonio) de Valentino Orsini et des frères Taviani
  • 1965 : Illégitime Défense (Una bella grinta) de Giuliano Montaldo
  • 1966 : Moi, moi, moi et les autres (Io, io, io… e gli altri) d’Alessandro Blasetti
  • 1967 : La Belle et le Cavalier (C’era una volta…) de Francesco Rosi
  • 1967 : Allô, il y a une certaine Giuliana pour toi (Pronto… c’è una certa Giuliana per te) de Massimo Franciosa
  • 1968 : Più tardi Claire, più tardi… de Brunello Rondi
  • 1969 : Les Damnés de la Terre (I dannati della Terra) de Valentino Orsini
  • 1970 : L’Amour de gré ou de force (Per amore o per forza) de Massimo Franciosa
  • 1971 : Au fond de la piscine (La última señora Anderson) d’Eugenio Martín
  • 1971 : L’Appel de la chair (La notte che Evelyn uscì dalla tomba) d’Emilio Miraglia
  • 1971 : Sam Wallash, on l’appelle Ainsi soit-il (Era Sam Wallash!… Lo chiamavano… E così sia!) de Demofilo Fidani
  • 1972 : Testa in giù, gambe in aria d’Ugo Novello
  • 1972 : Toutes les couleurs du vice (Tutti i colori del buio) de Sergio Martino
  • 1972 : Le Tueur à l’orchidée (Sette orchidee macchiate di rosso) d’Umberto Lenzi
  • 1972 : Si mes nuits d’amour vous étaient contées (Decameron n° 3 – Le più belle donne del Boccaccio) d’Italo Alfaro
  • 1972 : Sans sommation de Bruno Gantillon
  • 1972 : Clint, une corde pour te pendre (Il ritorno di Clint il solitario) d’Alfonso Balcázar
  • 1972 : La dame rouge tua 7 fois (La dama rossa uccide sette volte) d’Emilio Miraglia
  • 1973 : Le Fils de Zorro (Il figlio di Zorro) de Gianfranco Baldanello
  • 1973 : La notte dell’ultimo giorno d’Adimaro Sala
  • 1974 : Mourir à 12 ans (Il venditore di palloncini) de Mario Gariazzo
  • 1974 : Un fiocco nero per Deborah de Marcello Andrei
  • 1975 : Il prato macchiato di rosso de Riccardo Ghione
  • 1976 : Lezioni di violoncello con toccata e fuga de Davide Montemurri
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