Greta Garbo est l’une des plus grandes icônes du cinéma. Sa grâce et sa beauté magnétique ont transcendé le cinéma muet et parlant pendant 20 ans.
La star suédoise de Ninotchka de Lubitsch (1939), décédée en 1990, est un cas d’école. Elle a en effet pris une retraite anticipée au lendemain de la guerre, en 1945, devenant l’une des stars les plus énigmatiques de l’histoire, après avoir passé à peine 25 ans devant les projecteurs.
Si elle a disparu des écrans, Greta Garbo, dit la Divine, restera gravée dans toutes les mémoires, avec des chefs d’œuvre comme Anna Karenine (1935), Le roman de Marguerite Gautier (1936), Anna Christie (1930), La reine Christine (1933) ou Mata Hari (1931).
Elle arrête le cinéma avec La femme aux deux visages en 1941, le film de Cukor, laissant à l’histoire l’éternel visage d’une jeunesse magnétique.
Elle devient américaine en 1951, forgeant à jamais un pont précieux entre les USA et l’Europe.
Rétrospective Greta Garbo à Paris en 2023
The Flesh and the Devil (La Chair et le Diable), de Clarence Brown, 1926 © Droits réservés