Acteur, chanteur et humoriste français, Henri Génès débute sa carrière à la fois au cinéma, mais aussi en tant que chanteur et fantaisiste. Dans les années 40-60, on peut l’apprécier dans La ferme du pendu (Dréville, 1945), Nous irons à Paris (Boyer, 1950), La reine Margot (Dréville, 1954), Le corniaud (Oury, 1965), La grande vadrouille (Oury, 1966), Le petit baigneur (Dhéry, 1967) et Le cerveau (Oury, 1969).
A la fin des années 70, il continue à arpenter les terres d’un certain cinéma bis et franchouillard comme Embraye bidasse, ça fume (Pécas, 1978), Le gendarme et les extra-terrestres (Girault, 1979), L’avare (Girault, 1980), Sacrés gendarmes (Launois, 1980), Prends ta rolls et va pointer (Balducci, 1981), La soupe aux choux (Girault, 1981), Mon curé chez les nudistes (Thomas, 1982), Le braconnier de Dieu (Darras, 1983), Le facteur de Saint-Tropez (Balducci, 1985) et Le provincial (Gion, 1990).
Henri Génès prend sa retraite en 1993 et décède en 2005 à l’âge de 86 ans, après une carrière vouée au rire.